Pour Stéphane Germain ILOKO BOUSSENGUI, la question de savoir « qui dirige le Gabon » n’a pas sa place dans le débat actuel
Constatant la persistance verbale de certains leaders d'opinions sur la question de savoir : “qui dirige la nation gabonaise”, l’ancien conseiller du DCP auprès du SG, porte parole du Parti Démocratique Gabonais, Stéphane Germain ILOKO BOUSSENGUI donne son avis dans une communication transmise à notre rédaction :

“La question sur qui dirige le gabon revient sous plusieurs formes et de manière récurrente au point d’ébranler même certains soutiens du DCP.
Alors que cette question a été définitivement reléguée au calandre grec depuis au moins trois (3) ans et huit (8) mois par le retour définitif du président de la République, Chef de l’État, Son excellence, Ali Bongo Ondimba, au Gabon le 23 mars 2019 après un séjour de cinq (5) mois en Arabie saoudite et au Maroc.
Le président de la République au terme de ce mandat de sept ans (7), va solliciter à nouveau les suffrages des Gabonais pour un bail de sept (7) années supplémentaires, conformément à la constitution gabonaise.
L’ensemble de ses soutiens présents et à venir doivent se préparer à défendre son bilan et convaincre in fine, la majorité des électeurs à voter pour le DCP Ali Bongo Ondimba.
Le Parti Démocratique Gabonais et ses alliés fort de leur idéal de conservation du pouvoir prépare son candidat naturel a remporté brillamment cette élection pour parachever l’œuvre de construction nationale si cher aux Gabonais de toutes les conditions.
Que ceux qui attendent ce bilan ne perdent pas patience, il est en préparation au sein des instances habilitées du gouvernement de la République et du PDG, soutiens indéfectibles de la politique de Son Excellence Ali Bongo Ondimba, Président de la République, Chef de l’État.
Ce bilan sera présenté en temps opportun à l’ensemble des Gabonais dans le moindre détail avec la pertinence et l’objectivité éprouvées.
Laissons le temps au temps et concentrons nous dans les limites de nos possibilités à relever les nombreux défis qui se posent a nous quotidiennement. C’est précisément à ce niveau que tout le monde nous attend de pieds fermes pour que 2023 ne soit pas un 2016 bis.”