CULTURE

Ministère de la Culture et des arts : Patrick DAOUDA MOUGUIAMA prend langue avec ses nouveaux collaborateurs

<< Assidus, ponctuels et sérieux dans le travail. Je ne suis pas venu pour nettoyer, mais il faut prouver qu'on peut compter sur vous >>. C'est en résumé les attentes du ministre de la Culture et des Arts, M Patrick DAOUDA MOUGUIAMA, au sortir de la rencontre de prise de contact qu'il a eu ce mercredi 16 mars 2022, avec l'administration centrale dudit Ministère, à la salle des conférences du Musée National des Arts, Rites et Traditions.

Accompagné de son Ministre délégué Max Samuel OBOUMADJOGO, il s’agissait pour le Ministre, de fixer le cap sur la méthode de travail.

Après s’être imprégné du fonctionnement et de l’organigramme du ministère de la Culture et des Arts, menée par son secrétaire général M MINKO MI NDONG N’NANG, le tour est revenu aux différents opérateurs, directeurs généraux et directeurs centraux, de présenter les missions de leurs unités administratives.

Les directeurs généraux et directeurs centraux du ministère de la culture et des arts présents à la rencontre © D.R

Méthodique comme à son habitude, le membre du gouvernement à insister sur la nécessité de mettre en place un document de travail qui permettra de planifier et de budgétiser les actions à venir.

Pour le suivi régulier des dossiers, il est impératif que chaque directeur général ou central, présente ses projets et que chacun participe pleinement au plan de développement de la Culture. Car il faut saisir la dimension culturelle de manière durable. Pour cela, il faut animer, faire travailler les techniciens et les collaborateurs des différents services pour l’avancement des activités.

Connaissant l’engagement du président de la République pour la Culture, le Gabon doit miser sur la réalisation de structures à niveau. Tout en réfléchissant sur les politiques de rapatriement de nos biens culturels.

La situation de l’artiste n’a pas été en reste. En effet, validant les propos de son Ministre délégué, DAOUDA MOUGUIAMA, a rappelé la nécessité de donner à l’artiste gabonais, un statut social. Créer les conditions, pour le quotidien de la vie de l’artiste.

Autant de chantiers qu’il compte réaliser avec la contribution de chaque entité sous tutelle parmi lesquelles, le Musée National des Arts, Rites et Traditions, dont le caractère scientifique tend à disparaître.

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