Les activistes et les réseaux sociaux : attention danger !
Un pesant malaise et une grande inquiétude se pose quant à l’utilisation des réseaux sociaux par les activistes et certains médias à la solde multipliant ainsi des dérives, accusations sans fondements, diffamations, déformation de l'information.

Si elle se pratique dans toutes les nations démocratiques soient elles ou non, la diffamation dans les réseaux sociaux prend des proportions inquiétantes dans notre pays. Plusieurs personnalités ont été victimes et ne peuvent dire le contraire. Mais ce n’est pas aujourd’hui que cela compte s’arrêter.
Si elle se pratique dans toutes les nations démocratiques soient elles ou non, la diffamation dans les réseaux sociaux prend des proportions inquiétantes dans notre pays. Plusieurs personnalités ont été victimes et ne peuvent dire le contraire. Mais ce n’est pas aujourd’hui que cela compte s’arrêter.
Et voilà qu’un activiste manipulé par une main tapis dans l’ombre nous serre maintenant une version invraisemblable d’accusations infondées. Notamment sur un prétendu renvoie du préfet de police de Libreville par Madame la première dame Sylvia Bongo Ondimba ainsi qu’un détournement de perdiems liés à la fête du 17 août.
Ouf, quelle aberration. La première dame n’a rien à avoir dans les nominations de la haute administration encore moins dans les forces de défense et de sécurité qui sont assujetties au seul pouvoir discrétionnaire du chef de l’état, chef suprême des Forces de défense et de sécurité. Allez y comprendre… Sur la problématique des fonds liés au défilé du 17 août, selon notre source il n’en ait rien. La clé de répartition est faite par le commandement en chef, puis exécutée au secrétariat du préfet de police concernant son pôle d’action. Or, une erreur de saisie a été faite sur le montant à allouer aux officiers subalternes. Constat fait le préfet a régularisé la situation et tout est rentré rapidement dans l’ordre.
Comment comprendre que les concernés, eux-mêmes, ne laissent percevoir aucun mécontentement et que ce soit, certains activistes que cela préoccupe jusqu’à se permettre de pointer un doigt accusateur sur le général dont on connaît l’exemplarité ?
Un homme reconnu par ses troupes comme pragmatique et rigoureux dans la gestion humaine et des Finances qu’encrer dans les débats de bas étages. Pour lui l’heure est aux actions fortes à poser afin de mener à terme les missions que lui ont été confié par les plus hautes autorités. Le reste ne l’intéresse peu.
Il est temps que la diffamation, les fausses accusations laissent place à l’essentiel. Le temps des coups bas est passé, l’aiguille a tourné et aujourd’hui les commanditaires sont à découvert. On y croit, Ali Bongo mettra les choses à leur place.
Depuis longtemps le chef de l’état essuie la haine, que ses meilleurs collaborateurs encaisse les coups. Qu’il est trahi par les uns, par certains de ses collaborateurs, une fois pour toute il mettra de l’ordre pour se retrouver avec des personnes vraies. 2023 est plus proche que jamais.
Alors qu’il se susurre des réaménagements dans les corps et hautes administrations, que dire de ces écrits des activistes qui reflètent une rancune tenace avec des ambitions mesquines. Personne ne saurait être accusé hormis ceux qui dégradent la politique du chef de l’état et gaspillent toutes les meilleures intentions.
C’est donc dire pour accompagner le chef de l’Etat, il est d’autres propos porteurs de sens. Insuffler cette adhésion dont le pays a tant besoin. Pour notre bien, pour le bien de notre progéniture.